10 millions à se partager
Le ministre de l’Environnement, qui est aussi accompagné de la ministre des Outre-Mer pour ce déplacement qui les a mené ensuite en Martinique, a annoncé que 50% de cet investissement serait supporté par l’Etat, et que le reste serait à la charge des collectivités et de l’Union européenne.
48 heures pour agir
L’objectif du Ministre est de s’assurer que moins de 48 heures après l’échouage, les algues brunes puissent être ramassées. C’est en effet après ce laps de temps que les sargasses commencent, en se décomposant, à dégager des gaz toxiques qui peuvent provoquer vomissements et maux de tête.
Un dispositif de surveillance
Outre les opérations de ramassage, 22 capteurs seront déployés en Guadeloupe et en Martinique afin de faire remonter les données d’échouages et de dégagement de gaz. Objectif ? Permettre aux collectivités touchées d’émettre des bulletins quotidiens.
Une lutte collégiale
De plus, une mission dirigée par le sénateur de Guadeloupe Dominique Théophile, se rendra dans les îles voisines à la recherche de solutions de ramassage et de valorisation des algues brunes qui impactent négativement l’économie de la Guadeloupe et de la Martinique, et qui, en cette veille de vacances scolaires, devraient porter un coup au tourisme des deux îles…
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