Le jeudi 12 janvier le président Trump a une fois de plus choqué en qualifiant Haiti, certains pays d’Afrique et le Salvatore de « Pays de merde », durant une réunion qui se tenait à la maison blanche.
C’est le Washington Post qui a rapporté les propos du Président des Etats Unis qui aurait dit texto : « Pourquoi est-ce que toutes ces personnes issues de pays de merde viennent ici ? », ajoutant qu’il préférerait accueillir des migrants issus de pays comme la Norvège.

Trump dérape : le monde s’émeut !

C’est sans surprise que cette nouvelle sortie a choqué et malgré de timides excuses sur Twitter le lendemain où il a écrit :  « Le langage que j’ai utilisé lors de la réunion était dur, mais ce ne sont pas les mots utilisés »,  les critiques n’ont pas tardé à pleuvoir.
Jack Lang, ancien Ministre de la Culture a ainsi créé un hashtag qui a connu son petit succès : « #trumppresidentdemerde »
La Caricom, organisation régionale regroupant 15 états membres et à laquelle Haïti appartient depuis 2002, a de son côté fait paraître un communiqué  dans lequel elle se dit « profondément troublée par les informations faisant état de l’utilisation de propos désobligeants et répugnants par le Président des États-Unis à l’égard de notre État Membre, Haïti ainsi que d’autres pays en développement ».
Ajoutant : « La CARICOM condamne dans les termes les plus forts les opinions non éclairées qui auraient été exprimées. »

…Mais pas le Président de la république Française ! 

Mais si de nombreux hommes politiques ont dénoncé ces propos, ce n’est pas le cas d’Emmanuel Macron. Un manquement souligné par le LKP qui a adressé un courrier au président de la République du pays des droits de l’homme.

Un courrier qu’Olivier Besancenot, en bon facteur, s’est fait un plaisir de livrer…