Vous voulez être heureux ? Soyez-le !
Le bonheur est une décision. Vous devez comprendre cette règle simple si vous voulez prendre votre vie en main, arrêter de broyer du noir et retrouver une dynamique positive.
Ce n’est pas un discours que vous avez l’habitude d’entendre. Dans les familles, à l’école, dans les médias et dans la société en général, on vous pousse à croire que le bonheur vient de facteurs extérieurs : l’argent, la réussite scolaire et les diplômes, une belle voiture, une belle maison etc…
Tout vous entraîne vers cette fuite en avant pour être de plus en plus performant, pour acquérir de plus en plus de choses mais bien souvent, malgré cela, le bonheur ne vient pas.
Alors vous vous mettez des œillères et demeurez dans cette frénésie jusqu’au burn-out, où alors vous vous découragez et c’est la déprime.
Pourtant il y a une autre façon de concevoir le bonheur. Elle consiste à se tourner non pas vers le monde extérieur mais vers soi et à faire un choix : celui d’être heureux quelques soient les circonstances, parce que l’on a compris que cette décision peut transformer notre regard sur le monde et sur la vie.
Une question de regard
Marc a 32 ans. Parmi ses amis, il est le seul qui est célibataire et sans emploi. On le taquine souvent à cause de cela mais il reste combattif et se dit que son tour viendra certainement.
Raphaël lui n’a que 28 ans. Il a un travail qu’il n’aime pas mais qui paye les factures. Il pense qu’il mérite mieux, alors il est sans cesse déprimé et il passe son temps à envier ceux qui ont mieux réussi que lui. Son humeur maussade nuit à sa vie de couple car sa copine en a assez de le voir se morfondre.
Nous connaissons tous ce genre de cas de figure : des gens qui ont tout pour être heureux et qui sont déprimés, et d’autres qui n’ont pas grand-chose mais qui ont une joie de vivre inébranlable.
« Il n’y a pas de bonheur ou de malheur en soit »
Cela s’explique très bien : il n’y a pas de bonheur ou de malheur en soit. Ce qu’il y a, c’est un regard que je porte sur une situation et qui détermine ma manière de la vivre. JE décide que ma situation est heureuse ou malheureuse.
JE fais ce choix. Ainsi, si j’arrive à entraîner mon esprit à décider d’être heureux, alors aucune circonstance extérieure ne pourra m’en empêcher.
Il ne s’agit pas d’accepter passivement toutes les situations qui se présentent mais simplement, de voir dans chacune d’entre elles non pas un sujet de déprime mais plutôt une opportunité de changement ou d’évolution .
Un entraînement quotidien
Être heureux, cela se décide et cela s’apprend ! Voir le verre à moitié plein et non celui à moitié vide, cultiver des pensées positives, se réjouir des petits plaisirs simples… voici les quelques réflexes qu’il faut mettre en pratique quotidiennement.
Rome ne s’est pas faite en un jour, et c’est progressivement qu’il faut modifier son regard.
Un carnet des petits bonheurs
Pour cela, votre premier exercice peut consister à tenir un carnet de vos petits bonheurs. Chaque soir avant de vous coucher, listez sur un petit carnet trois petits bonheurs qui ont égayés votre journée. Cela peut être des choses très simples comme une conversation agréable avec un inconnu, où une douceur que vous vous êtes offerte pendant la pause déjeuner.
Ainsi, vous vous habituez à porter votre attention sur les choses positives.
Replongez-vous dans votre carnet les jours où vous sentez que la rechute vous guette et devenez au fil du temps un véritable athlète du bonheur !
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