Qui dit nouvelle année, dit vœux, résolutions, nouveau départ. Par convention, principe ou habitude, chacun souhaite une liste copié-collé de vœux à tous, qu’on le pense ou non à vrai dire. Mais à bien y réfléchir, cela ne présente plus aucun sens. Pour les résolutions, c’est un peu la même chose. Après tout, 2016 n’est que la continuité de sa précédente et on ne peut que s’efforcer d’être une meilleure version de nous-même. A-t-on vraiment besoin d’attendre ce moment pour la faire évoluer ? Voilà pourquoi, je ne prends plus de résolutions à cette période.

Les bonnes résolutions oui, mais au bon moment !

Les bonnes résolutions quand on se sent prête, oui !

Se fixer une date, oui au moment opportun. Et, je ne sais pas pour vous mais, la nouvelle année s’y prête rarement. On est souvent, sur les rotules, nostalgique ou soulagée, à subir les aléas de la rentrée… Le principe, c’est quand même de les tenir ses résolutions. Et aller savoir pourquoi, celles du 1^er janvier tombent vite aux oubliettes. Peut-être tout simplement parce que les conditions ne sont pas réunies ou que les décisions sont peu réalistes. Changer, ce n’est pas si simple. J’aime à penser que pour amorcer une nouvelle dynamique, il faut avoir murement réfléchi et définir soi-même le moment le plus opportun.

A bas les conventions !

Et puis pour être honnête, je suis contrariante J Je n’aime pas les conventions, faire comme tout le monde. En plus on nous en impose plusieurs : elles prennent un « s » les sournoises ! Et si je n’ai envie de prendre qu’un seul et unique engagement envers moi-même ! Ce qui est déjà beaucoup. Bref, à la rigueur, prenons notre résolution le 2 janvier ! Sinon, les résolutions plaisirs sont le contre-exemple. Pour 2016, mangeons plus de chocolat. Vous m’en direz des nouvelles !